Capitaine Pops c'est Billie, et Sergent Mimosa c'est Max. Ils sont frère et soeur, n'ont pasde super-pouvoirs, mais ils n'ont pratiquement peur de rien !
Une super-aventure où l'ordinaire devient extraordinaire !
Rien ne va plus à Crotte-sur-Mer ! L'inspecteur Oslo et miss Kiss sont appelés pour résoudre 3 enquêtes.Humour et suspense au programme !
De la pointe du Raz à St Malo et Carnac, c'est parti pour un tour de Bretagne décoiffant !
Avec une hermine hautaine qui pique ses choumoullouws à Jean-Pat, une bigouden chef d'entreprise cyber branchée menacée d'enlèvement, des korrigans finalement plus gentils qu'il n'y paraît... les rebondissements ne manqueront pas dans cet épisode des enquêtes de la célèbre détective, Mirette !!!
- Un orang-outan impassible et un caméléon émotif s'associent pour résoudre les affaires les plus farfelues.
-?La collection " Premiers romans " : des one-shots ou des séries, illustrés en couleurs avec une grille adaptée à chaque niveau pour accompagner les progrè et les envies de lecture des enfants.
Au coeur du Kenya, un horrible crime a été commis?: on a volé les rayures du zèbre?! Mais pas n'importe quel zèbre?! Non?! La star des zèbres. L'incroyable, l'extraordinaire, l'unique Jean-Pierre Paul-Mathieu, alias JPPM, le fameux chanteur au succès interplanétaire. Pour résoudre cette énigme et confondre le coupable, une seule solution?: l'inspecteur O-O du SEIC, le Service des Enquêtes Incroyablement Compliquées. Accompagné de son nouvel assistant, Alcide le caméléon, expert en camouflage, l'orang-outan détective parviendra-t-il à dénouer cette mystérieuse affaire?? Rien n'est moins sûr. Mais l'habile enquêteur a plus d'un tour dans son sac.
« Sur cinq cents pages László Krasznahorkai entremêle les voix d'une multitude de narrateurs pour nous raconter les quelques semaines d'une petite ville hongroise près de la frontière avec la Roumanie. Par un véritable feu d'artifice d'inventivité, jouant sur les registres de langue autant que sur les thèmes (allant de la comédie burlesque et absurde au drame le plus pathétique), Krasznahorkai se livre à une critique féroce de la Hongrie contemporaine : un pays ébranlé par le délabrement politique et économique, un pays éthiquement malade. Derrière la façade comique du retour manqué du baron, c'est un monde morbide qui se fait jour. Un monde en proie au chaos dans lequel les personnages tournent en rond, perdus et errants et une sourde inquiétude, ponctuée par les klaxons d'un groupe de motos, gagne peu à peu le lecteur. »
Léonard de Vinci et Michel-Ange sont nés pour être rivaux. Rien ne les a opposés davantage que leurs tempéraments. Au point qu'ils figurent deux pôles artistiques extrêmes, deux façons radicalement différentes de vivre, à cette époque fabuleuse de la Renaissance qui marqua l'histoire de la civilisation occidentale comme une charnière. Avec brio et rigueur, Le génie et les ténèbres nous plonge au coeur de leur rivalité légendaire en ces temps obscurs, exaltants et tragiques. Quand ils se rencontrent, à Florence, au tout début du XVIe siècle, Michel-Ange a vingt-six ans et Léonard quarante-neuf. Michel-Ange est capricieux, perfectionniste, aussi pieux qu'il est négligé dans ses manières, mais déterminé à se frayer un chemin à coups de burin. Léonard de Vinci est un hédoniste aux contours plus nuancés, aussi élégant qu'un dandy, mais qui ne respecte aucune échéance, s'intéresse autant aux sciences qu'aux arts, et devient même, parmi les multiples métiers qu'il exerce pour gagner sa vie, musicien de cour.
Avec son talent de conteur d'exception, Roberto Mercadini redonne vie aux hommes plus encore qu'aux artistes et ressuscite à merveille leur monde disparu : les troubles et les splendeurs de cités légendaires, quantité d'oeuvres sublimes, une foule de personnages historiques hauts en couleur, peintres, sculpteurs, architectes, papes, condottieres, comtesses guerrières et moines rebelles.
À la Renaissance, comme dans les vies de Léonard et de Michel-Ange, rien ne sépare la lumière des ombres : le génie solaire des gestes parfaits de l'artiste cohabite toujours avec les ténèbres de ses obsessions. Au fil de leur somptueux et inquiétant récit, ces vies extraordinaires dressent en creux le portrait d'une époque qui ne l'est pas moins.
Balla voit son monde s'effondrer lorsque son père abandonne subitement la concession familiale. Jusqu'alors, lui et ses amis jouaient, insouciants, dans la brousse de l'Ouest malien. Souhaitant garantir un avenir à ses enfants, sa mère quitte le village et emmène sa progéniture de Kayes à Bamako et de Bamako à Paris. Arrivé dans une France froide et inhospitalière, Balla ne connaît rien des codes de ce nouveau pays et devient, à six ans, la risée de son école et bientôt de toute sa famille. Squattant chez les uns chez les autres, l'enfant nomade se plonge dans le mutisme et rêve secrètement de revoir son père. Dali, une griotte qui pratique l'art de la divination, prédit un avenir radieux à l'élève parqué dans une classe destinée aux enfants arriérés. Depuis, le petit garçon est obsédé par l'intelligence et l'acquisition de la connaissance. Mettra-t-il fin au désespoir de sa mère qui l'emmène de force dans ses cours d'alphabétisation pour essayer de le sortir d'affaire ? Parviendra-t-il à se faire une place dans sa fratrie qui ne croit pas en lui ? La prophétie de Dali se révélera bien plus qu'une simple chimère...
Dans une langue aussi imagée qu'enjouée, Balla Fofana nous livre un très beau premier roman, largement inspiré de sa propre histoire. Il y raconte l'exil à hauteur d'enfant, la violence sourde qu'il engendre, mais surtout la force d'une femme, sa mère, à laquelle il rend un magnifique hommage.
Le narrateur, comptable de son état, installe sa mère dans une maison de retraite. C'est un déchirement mais aussi l'occasion pour lui d'évoquer la vie d'une femme lumineuse qui a quitté l'Italie fasciste pour s'installer dans les Alpes françaises. Le voyage faillit tourner court, car sans le sou, elle n'avait qu'un billet de train pour Modène (en Émilie-Romagne) et non pour Modane où l'attendait son père.
Alors que Patrick Hamlin se rend à Los Angeles pour superviser le passage à l'écran de son roman, il se retrouve chargé par la production de surveiller Cassidy Carter, actrice principale du film qui menace de faire dérailler le projet.
Julie, jeune femme tétraplégique, n'est pas vraiment comme les autres. Installée dans son fauteuil, elle observe le monde qui bouge autour d'elle et commente notre époque avec un humour acide. Adepte de la plume, elle brosse des caractères et des histoires.
Anissa, Félix, Pétronille, Barnabé et tous les autres, purs produits de son imagination, sont drôles, surprenants, méchants ou attachants,sensibles ou inquiétants, donc pleins d'humanité.
Les autres ne sont pas des gens comme nous, comme tous les romans de J.M. Erre, joue librement avec les mots et la littérature.
Keegan et Zambrano, deux narcotrafiquants, se battent à bord 'un Cesna bourré de cocaïne qui finit par s'écraser. La cargaison se retrouve disséminée dans la campagne argentine. Survivants du crash, Keegan et le pilote sauvent une partie de la drogue et volent une voiture pour l'emporter. Mais ils savent que le reste va exciter les convoitises. Entre le gang qui veut récupérer son dû et les pauvres qui voient dans cette drogue une manne inespérée, une course poursuite s'engage.
Juste après l'élection présidentielle américaine de 2016, la vie de Samantha Raymond commence à partir dans les décors : sa mère est malade, sa fille ado s'éloigne et, à 52 ans, elle fait l'expérience quotidienne d'une heure d'éveil extrême au milieu de la nuit où elle se surprend à réfléchir à la maternité, à la mortalité et à l'état de son pays.
Quand elle tombe amoureuse d'une vieille bâtisse dans un quartier misérable de Syracuse, elle l'achète sur un coup de tête et fuit sa vie de banlieue - et sa famille - tout en essayant de venir à bout des questions qui la taraudent : comment être une épouse, une mère et une fille dans un pays en train de craquer ?
C'est le roman de toutes les mères et de toutes les filles. Celui d'une femme qui prend le risque de tout perdre... ou de tout gagner.
Ruby, une jeune Aborigène ayant survécu au massacre de son clan, erre dans le bush en Australie du sud. En se fiant à son instinct et ses connaissances ancestrales de la nature. Quand son chemin croise celui de Jack, un trappeur irlandais, les deux êtres solitaires se risquent à s'adonner à un amour interdit, courroucé par les relents colonialistes et ségrégationnistes de l'époque : une épopée sublime et terrible à la fois.
Miriam est tombée dans le coma après un accident. Andrea la connaît depuis peu, mais il est follement amoureux d'elle. Chaque jour désormais, il vient s'asseoir à ses côtés et lui parle, parce qu'il entend sa voix. Leurs paroles se font écho dans leurs esprits et dans les limbes où Miriam reconstruit ses souvenirs et où Andrea tente de la ramener à la vie. Autour du lit de la jeune fille défilent d'autres personnages, qui attendent son réveil : ses parents, Mara et Lucio, déjà affectés par une tragédie qui les a éloignés l'un de l'autre ; le prêtre Nanni, l'exorciste vénéré, qui s'efforce de faire d'Andrea son disciple tandis qu'il est persuadé que Miriam est possédée par le diable, au point de chercher à les éloigner l'un de l'autre à tout prix ; et enfin, Gabry, la meilleure amie de Miriam, qui lui envoie de longs messages depuis Bologne, où elle a déménagé. En sept jours, les histoires et les voix de ces personnages alternent et se répondent, bâtissant une intrigue où les questions de l'amour et de la mort se mêlent à celles du salut et du destin, tandis que la raison cède de plus en plus sa place à l'inconscient, jusqu'à ce que la réalité ne reprenne violemment le dessus.
Chili, années de la dictature de Pinochet.
M, une petite fille, accompagne D, son père représentant en quincaillerie, dans ses tournées et se passionne pour les objets qu'il vend tant ils lui paraissent être l'ordre même de l'univers. Elle rencontre ainsi les autres voyageurs de commerce, qui constituent «une famille sans parents et donc plus supportable qu'une autre», aide son père à falsifier ses notes de frais, écoute les histoires, drôles ou tragiques, des uns et des autres... jusqu'au jour où son monde se délite.
Avec Kramp, cet objet littéraire inattendu et d'un charme indéfinissable, María José Ferrada incarne une voix nouvelle et puissante de la littérature chilienne.
L'art de lier les êtres au lit.
L'art de lier les êtres à la réalité.
L'art de lier les êtres à eux-mêmes.
Lier les êtres est un art.
Insaisissable.
L'art de lier les êtres nous ouvre les portes du Service 77, l'unité d'urgences psychiatriques de l'hôpital de Gênes où, à travers des moments dramatiques, tendres et tragiques, le médecin Paolo Milone revisite et réinvente ses années passées à « contempler l'abîme avec les yeux des autres ».
Balayant des idées reçues sur la santé mentale, ce roman poétique et percutant cherche la lumière dans les coins les plus sombres de l'esprit humain et marque l'arrivée d'une nouvelle voix éblouissante de la littérature italienne.
Il s'appelle "Tamon" : un chien sale, efflanqué et sans maître qui croisera sur les routes de l'adoption six maîtres de rencontre décidés à tout pour que ce chien soit à eux.
Mais ce chien semble bien être son propre maître ; et le nom que ses propriétaires d'occasion lui attribuent ne seront que des noms d'emprunt dans le road trip canin qu'il a entrepris en faisant le tour du Japon, la tête obstinément tournée vers le Sud.
Un chien protecteur et bienfaisant. Un chien consolateur qui pénètre aussi bien dans les maisons que dans les consciences, parce qu'il a un regard qui paraît voir au fond des coeurs. Un chien réconciliateur qui apporte la paix et donne confiance à qui veut changer le sens de sa vie.
Ce sont des histoires de courage et d'intrépidité, ce sont des histoires d'amitié.
Mes souvenirs sont des crépuscules ;
Aucune de mes histoires n'a de commencement. » Une femme sans passé se cache dans la forêt depuis des années. Elle y vit en ermite, cueille, pêche, piège et admire la beauté du monde sauvage. Son existence dans des gorges difficiles d'accès est spartiate mais heureuse, jusqu'au jour où une détonation claque sur le causse.
Ce coup de fusil sonne le départ d'une course contre la montre pour préserver ce coin de paradis et précipitera une suite d'événements implacables qui révélera cette femme à elle-même. Offrant la vision d'une vie autre, à l'instar du roman Dans la forêt de Jean Hegland, La Femme paradis pousse le lecteur à interroger ses certitudes, ses limites et ses désirs.
Aurélien est directeur du département des Peintures du Louvre. Cet intellectuel nostalgique voit dans le musée un refuge où se protéger du bruit du monde. Mais la nouvelle présidente, Daphné - une femme énergique d'un pragmatisme désinhibé -, et d'implacables arguments marketing lui imposent une mission aussi périlleuse que redoutée : la restauration de La Joconde.
À contrecoeur, Aurélien part à la recherche d'un restaurateur assez audacieux pour supporter la pression et s'attaquer à l'ultime chef-d'oeuvre. Sa quête le mène en Toscane, où il trouve Gaetano, personnalité intense et libre. Face à Monna Lisa, l'Italien va confronter son propre génie à celui de Vinci, tandis que l'humanité retient son souffle...
Ce roman au style vif porte un regard acéré sur la boulimie visuelle qui caractérise notre époque, sur notre rapport à l'art et notre relation au changement. Paul Saint Bris met en scène une galerie de personnages passionnants en action dans le plus beau musée du monde. Jusqu'au dénouement inattendu, il démontre, avec humour et brio, que l'allègement des vernis peut tout autant bénéficier aux oeuvres qu'aux êtres qui leur sont proches.
«Le monde magnifique et horrible de Mariana Enriquez, tel qu'on l'entrevoit dans Les Dangers de fumer au lit, avec ses adolescents détraqués, ses fantômes, les miséreux tristes et furieux de l'Argentine moderne, est la découverte la plus excitante que j'ai faite en littérature depuis longtemps».
Kazuo Ishiguro, Prix Nobel de littérature.
Peuplées d'adolescentes rebelles, d'étranges sorcières, de fantômes à la dérive et de femmes affamées, les douze histoires qui composent ce recueil manient avec brio les codes de l'horreur, tout en apportant au genre une voix radicalement moderne et poétique. Si elle fait preuve d'une grande tendresse envers ses personnages, souvent féminins, des êtres qui souffrent, qui ont peur, qui sont opprimés, Mariana Enriquez scrute les abîmes les plus profonds de l'âme humaine, explorant de son écriture à l'extraordinaire pouvoir évocateur les voies les plus souterraines de la sexualité, du fanatisme, des obsessions.
Merveille architecturale élancée vers le ciel, Roche-Étoile a connu la splendeur et la chute. La cité sainte de la déesse sans visage est maudite, réduite à l'état de nécropole brumeuse depuis que les eaux de son lac et de ses puits se sont changées en poison mortel.
Sept ans après le drame, l'archiviste d'un royaume voisin se rend dans la cité défunte avec pour mission de reconstituer le récit de ses derniers jours. Mais il s'avère bientôt que Roche-Étoile abrite encore quelques âmes, en proie à la souffrance ou à la folie, et celles-ci ne semblent guère disposées à livrer leur témoignage.
Un jeu de dupe commence entre l'archiviste et ces esprits égarés, dans les dédales d'une cité où la vérité ne se dessine qu'en clair-obscur, où dénouer la toile du passé peut devenir un piège cruel.
Alors qu'on l'imaginait déjà vainqueur du prestigieux tournoi des Sept Oriflammes, le célèbre mage Cobal Galtès meurt dans l'arène sous les yeux de sa fille.
Quinze ans plus tard, sa famille a sombré dans le chaos. Mage aussi ambitieuse que son père, désormais adulte et seule, Lidia ressasse les événements du tournoi, l'ultime source de tous ses malheurs.
Aussi, lorsqu'elle découvre une légende qui parle de rayer et réécrire le passé, ses espoirs se raniment. Qu'il faille fouiller les livres les plus rares, piller des trésors royaux ou pactiser avec des goules dévoreuses d'âmes, Lidia se jure d'acquérir ce pouvoir et de sauver son père.
Mais qui est cet adversaire invisible qui s'acharne à la faire échouer dans sa quête ?
« Il y a deux cents ans, l'Angleterre perdit la guerre contre Napoléon. Comme le reste de l'Europe, elle fut envahie par la France et la famille royale fut guillotinée. » Bienvenue dans un monde où l'Empire Français règne sans partage depuis son opulente capitale rebaptisée Grandville. Mais la situation est loin d'être idyllique : les beaux quartiers au faste sans pareil de la Belle Epoque peinent à dissimuler les fissures d'un Empire qui commence à vaciller, en Europe comme dans ses lointaines colonies. La contestation sociale gronde de plus en plus fort, exacerbée par les attentats des groupuscules anarchistes et les tensions ravivées avec le voisin Anglais. C'est dans ce contexte explosif que l'inspecteur LeBrock de Scotland Yard arrive dans la capitale de l'Empire pour tenter d'enquêter sur une mystérieuse vague de crimes et de suicides. Mais le fil qu'il va commencer à dérouler risque bien de le mener face à des ennemis extrêmement puissants aux intérêts vitaux pour l'Empire.
Dans cette série de 60 dessins, David Snug (Dépôt de bilan de compétences, Ni Web ni master) aborde avec humour questions de société et sujets d'actualité, mettant au centre de son propos la lutte des classes. Maître dans l'art de la punchline, du détournement et de la mauvaise foi, il pointe les travers de notre époque, épingle les puissants, les politiques, les stars de l'industrie culturelle et des médias, et dénonce les conformismes et le militantisme de façade (greenwashing, flexitarisme, etc.). Dans la veine situationniste, cette compilation de gags groucho-marxistes bouscule les consciences et questionne la notion d'engagement, sans oublier l'essentiel, nous faire rire !