À quand remonte la construction de la pyramide de Khéops ? En quelle année l'éruption du Vésuve a-t-elle enseveli Pompéi ? Quelle date a vu Neil Armstrong poser le pied sur la Lune ? Les dates clés de l'histoire du monde ont été minutieusement compilées ici, des origines de l'humanité à 2022. Les événements incontournables de l'histoire n'auront plus de secret pour vous !
D'Aliénor d'Aquitaine à Ségolène Royal, en passant par Louise Labé, la reine Margot, Camille Claudel ou Simone Veil, retrouvez le portrait de près de cent femmes qui, toutes, ont laissé une marque dans l'histoire de France.
Artistes, reines, écrivaines, aventurières, religieuses... chacune a connu un destin extraordinaire et continue de fasciner.
Souvent dans l'ombre, parfois au risque de leur vie, les femmes se sont opposées à l'ordre établi : par leur plume, leurs actes résistants, leur combat politique, leurs recherches révolutionnaires ou encore leur art, l'engagement au féminin est pluriel, et incroyablement méconnu. Il exsite pourtant, davantage éclairé depuis le début du siècle dernier, et pour longtemps encore, espérons-le ! À travers 27 portraits de femmes d'exception, originaires de France ou d'ailleurs, cet ouvrage se propose de retracer l'histoire de l'engagement au féminin. De Marie Curie, première femme à décrocher le prix Nobel de physique en 1903, à Inna Shevchenko, jeune militante ukrainienne qui mène avec les Femen un combat original pour l'égalité, en passant par Lucie Aubrac, Françoise Sagan ou Malala Yousafzai, les femmes n'ont cessé d'être des actrices engagées de l'histoire.
Après les trois best-sellers de Stefan Bollmann traduits en 16 langues, Les femmes qui lisent sont dangereuses, Les femmes qui écrivent vivent dangereusement et Les femmes qui pensent sont dangereuses, l'historienne Catherine Valenti signe un nouvel opus fort et engagé.
Le mercredi 10 décembre 1947 à 23h15, le téléphone sonne à la gendarmerie de Baugé, gros bourg du Maine-et-Loire situé à une qua- rantaine de kilomètres d'Angers : un assassinat vient d'être commis au domicile des époux Leloy, marchands de charbon. Albert, le mari, a été retrouvé le crâne fendu. D'après Germaine, son épouse, un individu aurait fait irruption chez eux vers 23 heures, alors qu'Albert était déjà couché et qu'elle s'affairait à des travaux de couture. L'agresseur aurait violemment frappé son époux et l'aurait menacée avant de la blesser au visage et de s'enfuir avec toutes les économies du ménage. Rapidement, les fonctionnaires constatent des incohérences dans les déclarations de la veuve éplorée. Interrogée pendant près de vingt heures, Germaine Leloy finit par craquer : c'est elle qui a massacré son mari à coups de hache, avec la complicité de son amant, Raymond Boulissière, le jeune commis employé par le couple.
Commence alors une affaire judiciaire à la fois ordinaire - l'homicide conjugal est loin d'être rare dans les annales judiciaires - et excep- tionnelle, en ce sens que, condamnée à mort, Germaine Leloy sera la dernière femme à être guillotinée en France.
À travers son histoire, Catherine Valenti livre une réflexion sur le statut des femmes en France à la fin des années 1940, dans un pays encore marqué par la guerre. Quelle est la place des femmes au sein de la socié- té et de la famille, où en est alors l'émancipation féminine, comment la justice trait
En octobre 1972, s'ouvre à Bobigny, le procès de cinq femmes : une mineure victime d'un viol et quatre femmes majeures, dont la mère de la victime, pour avoir assisté et pratiqué l'avortement de la jeune fille. Les cinq inculpées ont comme avocat une féministe connue : Gisèle Halimi. Très vite le procès va se transformer en une tribune politique contre la répression de l'avortement et en faveur de sa légalisation.
Ce livre retrace le combat et l'histoire de ces femmes et l'évolution de la société qui a été plus rapide que celle des lois. Cette affaire va secouer l'opinion et s'achever par des peines avec sursis puis un non-lieu et ouvrira la voie à la loi dépénalisant l'interruption volontaire de grossesse que Simone Veil fera voter au Parlement en 1975.
Il y a cent-soixante ans, en 1846, était créée l'École française d'Athènes, doyenne des instituts français d'archéologie. La Grèce n'est alors qu'un tout jeune royaume, récemment affranchi du joug ottoman, où les puissances européennes se livrent une lutte d'influence sans
merci. Aussi l'étude des antiquités grecques n'est-elle tout d'abord qu'un prétexte pour les jeunes étudiants français qui débarquent à Athènes : il s'agit avant tout pour eux de contribuer au rayonnement de la France en Méditerranée orientale. Au fil du temps et des générations « athéniennes » s'affirme toutefois la vocation proprement archéologique de l'institution, d'autant plus que l'excellence de la science allemande pousse les jeunes savants français à préciser leurs propres méthodes de recherche : après 1871, les rivalités politiques européennes trouvent en effet un exutoire scientifique sur les chantiers archéologiques de la Grèce et du Proche-Orient. Ainsi les jeunes «Athéniens » participent-ils pleinement à
l'élaboration de l'archéologie comme discipline scientifique, tandis que l'École française d'Athènes devient, dès la fin des années 1870, l'un des éléments les plus prestigieux du cursus honorum universitaire français. C'est à cette double histoire enjeux politiques de l'archéologie, mais aussi histoire de l'Université française aux XIXe et XXe siècles que cet ouvrage entend apporter un éclairage inédit.
L'amour est au coeur de l'Histoire : les grands de ce monde, humains, trop humains, sont aussi de fervents amoureux. En de rares cas, l'amour sort vainqueur, mais c'est plus souvent l'Histoire qui dicte sa volonté.
Ainsi, nombreuses sont les histoires d'amour contrariées par le cours de l'Histoire. Des amours de la reine Aliénor d'Aquitaine pour un simple troubadour à l'adultère scandaleux de Félix Faure au sommet de l'Etat, en passant par la relation, condamnée par le Pape, d'Henri IV avec Gabrielle d'Estrées ou encore par l'amour réprimé de la future reine Margot pour le duc de Guise, Catherine Valenti vous présente les grands amants contrariés de l'Histoire : condamnés à ne pas vivre leur amour au nom de la morale, de la religion, de la bienséance ou de la raison d'Etat, ces illustres amants ont vu leurs amours sacrifiés sur l'autel de l'Histoire...
Pourquoi le premier Airbus fut-il nommé A300 ? Quel est le plus grand musée du monde ? Combien y a-t-il de départements en France ? A quoi reconnaît-on un multiple de 3 ? Quelle femelle dévore le mâle pendant ou après l'acte sexuel ? Testez votre culture générale à travers ce grand QCM pour les Nuls. Événements historiques et sportifs, séries télé, loisirs, grandes inventions, oeuvres artistiques, personnages célèbres... jouez et cultivez-vous pour devenir un as de la culture G ! Cette Boîte à Questions " Spéciale culture générale " contient : - 92 cartespour vous évaluer tout en vous amusant en : - histoire et géographie - arts et littérature - sciences et techniques - loisirs - philosophie et religions - 1 Petit Livre des GrandesDates de l'histoire du mondepour devenir incollable sur les événements et les hommes d'hier à aujourd'hui.
Comment appelle-t-on le traitement de certaines maladies par la lumière solaire ? Dans quelle ville française siège le Parlement européen ? Au théâtre, que signifi e le terme « histrion » ? Un jeu de tarot compte 78 cartes, mais combien d'atouts ? Qui est le père du rationalisme ?
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Cette Boîte à Questions « Spéciale culture générale » contient :
94 cartes pour vous évaluer tout en vous amusant en histoire et géographie, arts et littérature, sciences et techniques, loisirs, philosophie et religions.
1 Petit Livre des Grandes Dates de l'histoire du monde pour devenir incollable sur les événements et les hommes d'hier à aujourd'hui.
L'une des six femmes « Compagnons de la Libération ». Quelques femmes résistantes sont passées à la postérité. Ce n'est pas le cas de cette modeste employée de l'administration postale. Simone Michel-Lévy a pourtant contribué de façon décisive à la lutte contre l'occupant nazi. En poste à Paris en 1940, elle est profondément meurtrie par l'invasion de la capitale et les débuts de l'Occupation. Avec des collègues, elle organise un réseau aux multiples ramifications, le mouvement « Action PTT », qui secondera l'action des résistants tout au long de la guerre. Une volonté de résistance qu'elle emmènera avec elle dans les camps de la mort.
Avant de devenir un homme de lettres, c'était un homme qui voulait se battre. Résistant de la première heure, Romain Gary intègre dès juillet 1940 les Forces aériennes françaises libres, en Angleterre, pour combattre l'ennemi nazi. De fait d'armes en acte de bravoure, celui qui deviendra compagnon de la Libération et l'un des plus grands écrivains du xxe siècle, ne poursuit qu'un seul but : rendre son honneur à la France.
Comment l'avocate Gisèle Halimi, née en Tunisie en 1927, a-t-elle réussi à mettre l'émancipation des femmes au coeur de ses combats... et à les gagner?
Avocate de la cause des femmes, Gisèle Halimi est la grande stratège du mouvement féministe. Organisatrice de procès très médiatiques, elle sait transformer le tribunal en tribune pour mieux conquérir l'opinion et obtenir de nouveaux droits, garantis par la loi.
Rebelle, « avocate irrespectueuse », elle est une femme qui a dit non. Non à la colonisation, au patriarcat, aux traditions, à la domination des femmes. De la défense des indépendantistes à l'IVG et la criminalisation du viol, Gisèle Halimi a initié et accompagné la plus grande révolution sociale et culturelle du second XXe siècle. Disparue depuis 2020, ses mots résonnent encore avec justesse : « Ne vous résignez jamais ! »
L'homme du 17 juin Lorsque le jeune sous-lieutenant Pierre Messmer entend à la radio que le maréchal Pétain a demandé l'armistice aux Allemands, il n'en revient pas. Pour lui, c'est inadmissible, on ne peut pas cesser le combat. L'armistice s'apparente à une trahison. Il ne voit qu'une seule solution : désobéir, car désobéir à un traitre, c'est son devoir de Français. Avec Jean Simon, soldat comme lui, celui qui deviendra ministre des Armées, puis Premier Ministre, prend la route de l'Angleterre, prêt à livrer le combat de sa vie à l'invitation de De Gaulle : celui de la résistance.
La pratique de l'avortement s'est très largement répandue au XIXème siècle, en rapport avec les profondes mutations sociales et matérielles de la nouvelle civilisation industrielle.
La généralisation des moyens mécaniques a complété voire supplanté les vieilles potions herbacées et les remèdes plus ou moins inefficaces issus de l'Antiquité. Cependant, les ressorts moraux viennent justifier la répression : crime contre Dieu, l'avortement devient également et avant tout, de la fin du XIXème siècle jusqu'à 1945, un crime antinational et antipatriotique qui enlève de nouveaux citoyens et de nouveaux soldats à une communauté angoissée par son atonie démographique et par le dynamisme de la natalité allemande.
La revendication du droit à l'avortement va néanmoins se faire entendre. D'abord par la reconnaissance de l'avortement thérapeutique, en 1852. Défendu ensuite dans une perspective révolutionnaire par les néo-malthusiens de la Belle Epoque, le droit des femmes à disposer de leur corps finit par s'imposer au début des années 1970, entraînant avec lui un débat passionné qui ne cessera pas avec le vote de la loi Veil.
Avant les années 1970, peu de femmes osent porter plaintes à la suite d'un viol et quand l'affaire donne lieu à un procès, elle est requalifiée en « coups et blessures », et jugée en correctionnelle, où les coupables s'en tirent avec une amende et quelques mois de prison. Mais deux jeunes touristes belges, victime d'une telle agression à Marseille en août 1974, décident de se battre, aidées par l'avocate Gisèle Halimi qui porte leur affaire aux Assises et transforme le procès des violeurs en procès du viol. En libérant la parole des femmes, en attirant l'attention des médias et des politiques, le procès d'Aix-en-Provence en mai 1978 est bien plus que l'épilogue d'un fait divers : il est un des jalons qui ont changé l'histoire et fait avancer la cause des femmes.
L'ouvrage L'Antiquité imaginée est issu d'un séminaire organisé en 2016 par une équipe de recherche qui travaille sur la réception de l'Antiquité, c'est-à-dire sur l'Antiquité après l'Antiquité, sur la façon dont les références antiques ont perduré bien au-delà de la période antique, et continuent encore aujourd'hui à imprégner les sociétés contemporaines.
L'ouvrage analyse la façon dont l'Antiquité influence l'imaginaire des créateurs contemporains, qu'ils soient romanciers, cinéastes, scénaristes de séries télévisées ou auteurs de bandes dessinées. Les références à l'Antiquité sont en effet de plus en plus nombreuses et tendent même à concurrencer l'imaginaire médiéval jusque-là dominant, notamment dans les domaines de la science fiction ou du fantastique.
L'ouvrage interroge le sens de ce retour en force de l'Antiquité dans la production artistique : que nous apprend-il sur notre rapport à l'Antiquité, sur le statut de l'Antiquité dans le monde occidental en ce début de XXI e siècle ? en quoi est-il révélateur des hantises et des obsessions de nos sociétés contemporaines ?
L'ouvrage comporte une introduction de Claude Aziza, spécialiste reconnu des antiquités imaginaires. Trois contributions portent sur le roman, dont l'une sur le polar antique grec, quatre portent sur le cinéma, dont l'une sur Spartacus, deux sur la bande dessinée, dont un essai de synthèse sur la bande dessinée relative à la Rome antique.
L'homme qui commanda la 2e DB et libéra ParisFin 1940, le colonel Philippe Leclerc, aux ordres de de Gaulle, décide d'attaquer Koufra, une oasis libyenne située à plus de 1 500 km. La mission semble démentielle, car il faut traverser la ramla, un sable dans lequel les voitures s'enfonceront, puis la hamada, le reg, la roche mise à nue par le vent. Sans compter ces montagnes qui culminent à plus de 3 000 mètres. Le tout sans routes, sans cartes, sans point d'eau et avec le vent. Pourtant, avec 400 hommes et 56 véhicules, Leclerc va tenter l'impossible pour mettre en déroute l'armée italienne.