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Dans ce roman à double et même à triple intrigue, où crimes et alibis jouent à cache-cache, le lecteur pénétrera dans le monde universitaire nippon, le show-business un peu ringard des clubs de Tokyo et les mafias politicardes de province... Un premier meurtre « en chambre close », puis deux autres crimes tout aussi « parfaits » conduiront, à son coeur défendant, la belle Chisako dans les bars de Tokyo et dans une lointaine circonscription de province.
Une subtile intrigue policière « à l'anglaise » par une redoutable et très brillante romancière japonaise. -
Fantômes et kimonos : Hanshichi mène l'enquete à Edo
Kido Okamoto
- Picquier
- Picquier Poche
- 10 Janvier 2025
- 9782809717044
Plein de bienveillance mais aussi de malice, Hanshichi est un détective de l'ancien temps qui sait démêler le vrai du faux, démasquer les secrets des jeunes geishas et les entourloupes des fantômes. Car dans le Japon du dix-neuvième siècle, il arrive qu'une mystérieuse coquette en kimono se transforme en énorme chat noir, que les monstres de foire courent les rues où s'escrime un meurtrier à la lance, à moins que l'ombre maudite de la fille du marchand de saké ne vous accompagne le soir, avec de sanguinaires appétits de vengeance.
Autant d'énigmes que notre Sherlock Holmes nippon réussit à élucider dans l'ancienne ville d'Edo aux pittoresques coutumes. -
Fantômes et samouraïs ; Hanshichi mène l'enquête à Edo
Kido Okamoto
- Picquier
- Picquier Poche
- 5 Janvier 2024
- 9782809716641
Un jeune journaliste très curieux de mystères et d'histoires de fantômes interroge le vieil Hanshichi, qui lui raconte quelques-uns de ses exploits de détective dans le Japon du XIXe siècle.
A l'âge de dix-neuf ans, Hanshichi se distingue pour la première fois dans l'affaire de la Lanterne de pierre, où il peaufine sa méthode de déduction à la Sherlock Holmes.
Beaucoup d'autres mystères suivront, mais Hanshichi ne se contente pas de raconter ces histoires, il y ajoute force détails sur la vie dans le Japon traditionnel, les croyances, les saisons, et sur une foule de personnages aux petits métiers divers et variés. A la fin de ces quatorze énigmes, le lecteur connaît une bonne partie des coutumes de l'époque et s'est pris d'affection pour cet enquêteur tellement doué et sympathique. -
Madré, coureur de jupons, buveur obstiné, l'inspecteur Yesügei est aussi un chasseur né. Lorsqu'un touriste américain disparaît au cours d'une chasse aux antilopes saïga, son instinct se réveille. Tenace et patient, il remonte les pistes et ne lâche jamais sa proie. Avec pour fil conducteur, une poignée de myrtilles. Et pour scène de crime, les étendues sans fin d'une terre où le vent semble reculer les limites de l'horizon, une terre sacrée pour ses cavaliers nomades, et livrée aux appétits étrangers qui se disputent âprement ses ressources.
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Deux policiers modestes et pitoyables, à la recherche de malfrats, font découvrir les minables combines de leur petite cité provinciale du Henan. Un roman sur les moeurs du socialisme teinté de capitalisme en Chine.
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Ikebukuro west gate park
Ira Ishida
- Picquier
- Les Crimes De L'orient-Extreme
- 22 Mai 2008
- 9782809700411
Bienvenue à ikebukuro west gate park.
Un square ouvert aux aventuriers urbains, à la sortie ouest de la gare d'lkebukuro c'est là que makoto et ses amis ont établi leur qg. makoto a dix-neuf ans, et c'est un trouble shooter, un " solutionneur d'embrouilles ". des embrouilles. il n'en manque pas dans ce quartier où se rencontrent gamins à la dérive, yakuzas, filles perdues et clandestins dans le japon de l'envers. avec pour seules armes son énergie et sa débrouillardise, makoto résout les énigmes, vient en aide à ceux qui sont dans la détresse, et tente de ramener la paix dans les rues menacées par une sanglante guerre des gangs.
Si ikebukuro west gate park a obtenu le grand prix de littérature policière au japon. il dépasse de loin le cadre du roman policier. quand on referme le livre, on a l'impression de connaître par coeur ce quartier de tôkyô, chacune de ses ruelles où se côtoient bars à karaoké et love-hôtels, on s'est attaché à chacun de ses habitants. par petites touches incisives d'un pinceau très rapide, ishida ira a produit une oeuvre extrêmement originale, dont la toile de fond plutôt noire s'éclaire de soudaines bourrasques de soleil
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C'est à la cour impériale, dans le japon du viie siècle, que nous transporte l'auteur de meurtres à la cour du prince genji, dans le tourbillon de querelles de succession entre souverains et dignitaires, au milieu des trahisons, des complots et du tumulte des assassinats.
On retient son souffle dans ce roman policier bouleversant de haine et de folie meurtrière où la magie noire se mêle au vacarme des armes, autour d'un démoniaque et mystérieux prince des ténèbres. derrière la prêtresse nukata, on entend le frôlement des traînes sur le plancher des palais, mais aussi les incantations des sorciers qui, au cours d'étranges cérémonies, nouent les rancoeurs et les malédictions.
Comme souvent dans le cinéma japonais, s'entrecroisent des scènes d'une grande douceur et d'une extrême cruauté. et nous ne saurions trop recommander au lecteur, une fois ce livre refermé, de se purifier en lançant du sel devant sa maison comme le veut la tradition japonaise.
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Sur son bras gauche, un lézard noir ondulait, il semblait ramper tout en donnant l'impression qu'il allait se déplacer de son bras vers l'épaule, puis vers le cou, pour arriver enfin jusqu'aux lèvres humides et rouges, il restait indéfiniment surplace.
Une enquête de kogorô akechi, et certainement le plus célèbre roman policier d'edogawa : un cambriolage rocambolesque lancera le détective dans une course-poursuite sur les traces d'une femme fatale et sans scrupule surnommée " le lézard noir ", à la recherche de la belle sanae.
Un enlèvement réussi et des travestissements déconcertants mettront à mal sa perspicacité et conduiront le lecteur dans un labyrinthe secret et inattendu, jusqu'à un musée extravagant.
Yukio mishima a adapté ce roman au théâtre, jouant lui-même un petit rôle dans le film qui en fut tiré par le réalisateur kinji fukasaku, en 1968.
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La nuit, dans la solitude rassurante de son appartement où sont exposées ses figurines en plastique minutieusement assemblées par ses soins, Jang Yeong-min, courtier agoraphobe à qui la réussite sourit, aime n'avoir qu'à actionner sa souris pour exercer son métier.
Persuadé de pouvoir distinguer le schéma qui se cache derrière toute chose grâce à sa clairvoyance exceptionnelle, il perçoit celui auquel obéit le cours des actions qu'il regarde monter et descendre sur ses deux écrans d'ordinateurs. Yeong-min est ainsi toujours capable de savoir exactement à quel moment vendre ou acheter. Il est méticuleux et ne se trompe jamais.
Aussi, quand on se met à retrouver des cadavres auxquels il manque successivement un, puis deux, puis trois, puis quatre... doigts de la main, Jang Yeong-min se trouve aussitôt un nouveau passe-temps : découvrir le schéma d'un psychopathe qui se cache derrière ces meurtres. Et d'ailleurs, pourquoi ne pas y prendre part.
Car notre héros tiendrait enfin l'occasion inattendue de se venger de son ancien « camarade » de lycée dont le harcèlement fût à l'origine de son traumatisme.
Ce sera le début d'un abominable cauchemar. -
Michiru a perdu l'usage de la vue dans un accident et vit recluse dans une grande maison, comme dans un oeuf de ténèbres. Un jour, elle apprend qu'un meurtre vient d'être commis à la gare toute proche. Peu de temps après, la jeune fille sent une présence
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Deux récits à vous plonger dans l'angoisse.
A Tôkyô, dans une vieille maison, un misanthrope excentrique et pervers fasciné par une célèbre actrice vit, comme dans un cauchemar, une effrayante descente aux enfers qui fera de lui un criminel.
A bord d'un train, un énigmatique voyageur raconte à son voisin de rencontre l'histoire du tableau dont les personnages sont "vivants".
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" a notre époque, il n'y a que deux " voies pour ceux qui aspirent à être un dieu : la création et le meurtre.
" ainsi parle le narrateur, un esthète du crime, qui explore avec talent et cynisme l'art de détruire autrui. ce qu'il aime par-dessus tout, c'est révéler leur pulsion de mort à ses victimes, " jusqu'au stade où la personne devient digne d'être mon client ". le passage à l'acte n'est plus que formalité technique, quand compte avant tout l'osmose plus ou moins réussie entre le " tueur " et sa victime.
Et force est au lecteur d'admettre que ses " clients " trouveront écoute et consolation auprès de cet étrange bourreau égocentrique qui s'immisce dans leur vie, dans leur esprit, leur prodigue conseils bienveillants et compréhension. ainsi que son savoir-faire pour les aider à passer eux-mêmes à l'acte. il nous parle de la mort, de leur mort. mais c'est à eux qu'il laisse le dernier mot. ce premier roman de kim young-ha, publié en 1996, à vingt-huit ans, a enthousiasmé le public en même temps que les critiques, qui voient en lui le " chef de file d'une nouvelle génération " d'écrivains en corée-du-sud.
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Le corps d'un homme, la gorge tranchée au bas de son immeuble jette le lieutenant Ma et son adjoint Zhou dans une enquête au cours de laquelle ils vont remuer le ciel et la terre de Pékin menacé d'attentats par des séparatistes Ouighours.
Treize jours dans une voiture pie à ne connaître que des nuits blanches et des bols de nouille, treize jours à sillonner les rues et les quartiers les plus louches de la Capitale, dans le Pékin des bas-fonds, des junkies punk et des prostituées.
La corruption liant l'urbanisme de la capitale chinoise au milieu de la drogue et de la pègre les amène, lui, le lieutenant désabusé par un mariage raté et son coéquipier borderline à relier plusieurs meurtres identiques et tenter de remonter la piste des égorgeurs pékinois.
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Pour le Mandarin, la fête de la mi-automne commence bien. Un jeune sbire a renouvelé l'exploit légendaire d'abattre neuf corbeaux en plein vol. Mais, pendant la fête, un enfant disparaît. Peu de temps après, des bonzes en colère dénoncent la profanation de leur temple. Le Mandarin mène une enquête à travers les légendes et les événements historiques.
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A Pondichéry, ville tranquille de la côte est de l'Inde, plusieurs membres d'une même famille sont assassinés. Devant l'hostilité des policiers, le brahmane Doc se contente de mener une enquête parallèle, secondé par quelques repris de justice, des danseuses et même un détective privé.
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En 1778, le soleil de la prospérité brille sur le royaume coréen de Joseon, mais plus la lumière est vive et éclatante, plus l'obscurité est profonde. Une série de meurtres plonge la capitale dans l'angoisse. Au chevet de chaque victime, a été déposé un livre du romancier le plus populaire de l'époque. L'impétueux dosa Yi de la Haute Cour de Justice est chargé de l'enquête.
Il n'a que vingt ans et c'est avant tout un guerrier. Commence pour lui la période la plus fascinante et la plus déroutante de son existence, celle où il va se frotter aux complots, aux trahisons, aux guets-apens, frôler la mort et nouer une amitié qui va changer sa vie. C'est une plongée dans un monde où les mots tissent le piège des intrigues politiques et peuvent devenir des instruments de mort.
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Sous la canicule, le Bombay Express roule à petite vitesse, emportant le brahmane Doc qui se rend à Bombay en compagnie du fidèle Arjun pour soigner l'obésité de son beau-frère. Mais le corps atrocement brûlé d'une jeune femme dans un compartiment de première classe lui ouvre les portes de Bollywood, des stars capricieuses et des studios de cinéma. Tandis que sa soeur cuisine sans relâche et que les fêtes se succèdent, il donne une leçon de "kalaripayatt" dans les rues de Bombay et découvre ce que peut être le chantage et le goût de la vengeance. Armé des "shâstra" et de son seul parapluie, il découvrira les raisons d'un meurtre qui n'était au fond qu'une sinistre plaisanterie. Si la vie n'est qu'un songe, la mort ne serait-elle qu'une blague ?
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Matsumoto : la voix, le vase de sable, Tokyo express ; coffret
Seichô Matsumoto
- Picquier
- Picquier Poche
- 6 Novembre 2012
- 9782809703870
Ces enquêtes où le lecteur est, dès le départ, mis au courant de l'identité du criminel, sont la forme classique du roman policier traditionnel chinois. Matsumoto en inscrivant ses histoires dans la société japonaise contemporaine marque le début de la critique sociale dans le nouveau polar japonais.
La Voix : Dans ce recueil de nouvelles, seule La Voix est une enquête policière classique. Dans les autres nouvelles, de simples citoyens voient leur curiosité exacerbée par le minuscule détail qui cloche. Dans Tokyo Express, une affaire simple et ordinaire change soudainement de nature parce qu'un détail heurte la sensibilité, le sens de l'harmonie d'un vieil inspecteur. Dans Le Vase de sable, c'est le portrait du Japon au seuil de la modernité qui retient l'attention.
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Doc est peut-être brahmane, médecin, mélomane, champion d'arts martiaux, charmeurs, gourmet, mais sûrement pas détective de métier.
Pourtant, qu'il soit paisiblement chez lui, à Madras, ou bien ailleurs - en visite chez des parents ou des amis à Mumbai ; en villégiature à Ooty ou Pondy ; au chevet de lointains patients à Calcutta -, le hasard facétieux s'obstine à joncher son chemin de cadavres. Grâce à un tempérament curieux, une science inépuisable des traités anciens, d'époustouflants talents de bretteur, un fort sens de l'humour - fût-il crapuleux, passionnel, mafieux ou politique, le héros à l'éternel parapluie finit toujours par élucider le crime.
Ses enquêtes ludiques, riches en fausses pistes et faux-semblants, entraînent le lecteur à travers une Inde plurielle et turbulente. Une Inde qui vit au rythme des musiques de films, des rituels et des sauces pimentées, autant qu'à la cadence, accélérée, des technologies de pointe.
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Doc n'est pas détective de métier. C'est un brahmane qui vit à Madras et exerce la profession de médecin. Ses patients l'apprécient d'autant plus qu'à son diagnostic très sûr s'ajoute le fait qu'il ne réclame ses honoraires qu'en cas de guérison. Passionné de musique indienne et d'arts martiaux, il utilise souvent ses qualités de déduction pour résoudre les énigmes que le hasard met sur sa route.