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Lumière au quatrième ; la petite ouvrière de Varsovie
Ros Alezard - C Zilb
- Publibook
- 18 Juin 2009
- 9782748348644
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Devenir infirmière en France, une histoire atlantique ? (1854-1938)
Evelyne Diebolt, Nicole Fouché
- Publibook
- Sciences Humaines Et Sociales ; Histoire
- 14 Avril 2011
- 9782748363289
Seconde moitié du XIXe siècle. Sous l'impulsion de l'Anglaise Florence Nightingale qui s'était distinguée lors de la guerre de Crimée, la profession d'infirmière connaît un formidable élan progressiste. Elle vit même une révolution essentielle : fondation d'une véritable formation, nouvelles méthodes de travail, encadrement accru permettent alors au métier de gagner en efficacité, en professionnalisme, en cohésion. Une mutation qui inspirera rapidement les États-Unis et des femmes américaines progressiste qui promouvront à leur manière ces idées et se feront un devoir et une mission de les transmettre. Ce sera le cas, mais plus timidement, en France, grâce à l'action de la Française Anna Hamilton. Hélas, loin de s'imposer dans l'Hexagone, notamment aux lendemains d'une Première Guerre mondiale qui a pourtant permis de prendre conscience des avancées anglo-américaines dans le domaine du soin, ce modèle ne sera pas entièrement repris. Pour quelles raisons ? Retour sur l'histoire de la profession d'infirmière de part et d'autre de l'océan à travers les liens transatlantiques, les débats d'idées, les idéologies sous-jacentes, le genre et les appartenances religieuses qui s'affrontent. Avec une volonté affichée d'éclairer les pans méconnus de l'histoire et de replacer leurs acteurs essentiels à leur juste place, Évelyne Diebolt et Nicole Fouché relatent et analysent les évolutions du métier d'infirmière sur les sols anglo-américains et français. Une histoire d'abord séparée, puis menée en parallèle, avant une véritable rencontre sur le territoire français marqué par la Grande Guerre. Mais les multiples pressions, pour faire adopter par la France le modèle proposé par les Anglo-Américains, ne suffisent pas. Fruit d'une problématique inédite, cet essai nous rappelle encore que l'histoire des infirmières est indissociable de celle des femmes, de leur manière de s'approprier les métiers et d'en refaçonner les contours. Derrière le propos historique, ce sont donc des femmes d'avant-garde que cet ouvrage nous propose de découvrir.
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2003, le gouvernement américain décide d'entrer en Irak. Les raisons sont floues et les avertissements écartés, la guerre est devenue "préventive". Pour ceux qui prétendent entraver l'accomplissement des constructions théoriques des Néoconservateurs, les coups volent bas et, bientôt, l'Europe communautaire n'existe plus. La France assume avec brio sa fonction tribunicienne mais pèse-t-elle au-delà des mots? Partout, les choix anciens et rassurants semblent périmés et une évidence s'impose: une époque se termine. Sur le terrain, la situation se dégrade. La guerre est un caméléon disait Clausewitz et la puissante armée américaine peine face à une guérilla agressive, dans un pays dont les journalistes permettent de découvrir la complexité. A Washington, la presse et le Congrès, tétanisés depuis le 11 septembre, reprennent leurs esprits, enquêtent, questionnent individus et institutions et finissent par confondre les ambigüités, parfois les mensonges, du pouvoir. En Irak et en Afghanistan, la remise sur pied des institutions progresse; pourtant des démocraties paisibles et prospères semblent, à court terme, hors de portée. Ailleurs la Chine s'impose, la Russie gronde, l'Iran menace et le nucléaire prolifère. Derrière l'actualité, l'histoire en mouvement interroge chacun, citoyen et dirigeant: comment comprendre, comment agir? A l'Europe, l'observateur pose une seule question: saura-t-elle recycler son brillant patrimoine diplomatique et intellectuel pour dominer la guerre, ce "phénomène social" éternel, immuable et changeant?
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De Mémé à Jean-Noël Guérini : un plagiat ?
Marie-Hélène Porri
- Publibook
- Mon Petit Editeur
- 15 Août 2012
- 9782748389418
Ô Bonne Mère ! Marseille, deuxième ville de Corse, refuge de nombreux insulaires, qui se sont installés en toute sérénité, retrouvera-t-elle un jour la joie de vivre à la Pagnol ? De la Canebière au Vieux Port, Marseille, ville de toutes les convoitises, verra-t-elle un jour souffler un autre vent que celui des Guérini ? Les truands sont morts, les politiques tout autant célèbres ont pris la relève. Marseille n'avait pas besoin d'être recouverte de tant d'immondices nauséabondes. Sous l'oeil du défunt Gaston Deferre, rien n'a changé. Ce n'est pas « Plus Belle la Vie », mais « Poubelle la Vie ».
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Quel regard un soldat de métier peut-il porter sur les événements et les hommes qui conduisirent l'armée française à combattre, sous différents cieux, des Allemands, des Italiens, des Indochinois, des Algériens et. des Français ? Quelle réflexion mener sur la violence et sur le destin des protagonistes d'une tragédie dans laquelle le devoir peut s'opposer à la conscience, l'obéissance le céder à la révolte, et l'absurde l'emporter sur la raison ? Officier pilote, l'auteur porte ici un regard original sur des événements vécus, ainsi que sur les responsabilités fixées par le politique. Vivant, parfois émouvant, à mi-chemin entre le témoignage et l'essai, "Entre Ciel et Terre" place le soldat au centre de l'action, « parce qu'il sait que son destin, dans la guerre, est la fidèle image de celui des plus humbles, face à la violence du monde ».
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Je croyais raconter la guerre des miens en suivant leurs récits le plus fidèlement possible. Pourtant, je me suis laissé emporter. Je me suis impliquée par mes émotions, mes réflexions. J'ai même parfois jugé. Et toujours, une grande interrogation : qu'aurais-je fait moi, à leur place ? Aurais-je eu le courage, la volonté de garder, comme eux l'ont fait, mes convictions et mes espérances ? Ces considérations métaphysiques les ont fait plutôt sourire : - Tu sais, la plupart du temps, on s'est juste débrouillés comme les autres !...Pour continuer à vivre... Je ressens encore ma frustration d'adolescente. J'espérais les exploits merveilleux et héroïques des grandes batailles et j'entendais les récits de gens qui recherchaient le sel et les savonnettes pour survivre.
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Avec "Lumière au quatrième", Rosette Alezard signe un témoignage émouvant et bouleversant sur l'histoire d'une famille confrontée à l'Histoire, qui a pour cadre le populaire Onzième arrondissement de Paris. De l'avant-guerre au temps présent, plutôt que d'évoquer l'incroyable succession d'événements qui ont changé le monde dans ce même temps, la narratrice nous livre ici les souvenirs épars de ces années, comme autant de touches d'un tableau jamais terminé. Portrait d'une mère juive, aperçus sur la condition ouvrière au siècle dernier, pauvreté obsédante, enfance dans la peur, militantisme, idéal bafoué, autant de fils de trame de ces «pièces détachées» d'une vie très ordinaire avec ses non-dits. Dans un style saisissant, on a là une vision qui va au-delà des simples préjugés et poncifs sur le sujet pour exprimer avec originalité et pertinence une pensée vivifiante et humaine. Le récit vous séduira par sa sincérité, son intensité et sa fraîcheur.
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Le deuil n'est pas seulement capitulation face à l'absence définitive de l'autre ; il est aussi un lent processus de reconstruction de soi, où l'on doit se reforger une existence sans les en-allés. Double dimension donc du deuil, à laquelle répond l'alternance prose-poésie de "Folle farandole", recueil mi-intimiste, mi-poétique dans lequel Françoise Debusschère dit la douleur de la séparation brutale et cette patiente redéfinition de soi. Au désespoir envahissant, l'auteur oppose ainsi une incessante traque de la vie qu'elle guette et recherche dans les paysages naturels et forestiers, et qu'elle transpose dans des textes aussi consolateurs qu'émouvants.
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Des hommes et des femmes de noir vêtus. Leurs mots pour armes ou boucliers, ces toges sombres doivent convaincre une poignée de leurs concitoyens et défendre au mieux les intérêts de leurs clients. Des assassins, des violeurs, des pédophiles, souvent. Ils sont pénalistes et doivent en effet protéger ceux qui ont basculé dans la folie, ceux qui ont bafoué tous les codes et commis l'irréparable. Souvent emportés dans la tempête médiatique ou pris à partie par l'opinion publique, ils doivent assurer leur mission d'avocat, pour que la Justice ne devienne pas une pantomime incensée. Interviewés par Manuel Pontresina, treize d'entre eux parlent ici d'une profession aussi critiquée que fascinante.
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Fabriqués avec les moyens du bord, distribués dans l'urgence, ils étaient les premiers signes annonciateurs de ce qu'on appellerait plus tard « les événements » de mai 1968. Principale source d'information pour le monde universitaire à une époque encore gangrenée par la censure gaulliste, ces tracts, amateurs ou professionnels, inondaient le monde étudiant avant le raz-de-marée sociopolitique que l'on connaît. De la rentrée de l'automne 1967 à l'année 1969, retour sur une vague contestataire qui changerait définitivement la donne.
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Tarascon, entre les bras du Rhône et les Alpilles. Perdue entre rêverie et quête spirituelle, Ana a une conscience aiguë du bien et du mal : Dieu se fait proche et éprouvant ; il faut souffrir pour écouter l'autre, s'oublier. C'est ainsi qu'elle se consacre aux enfants des « Matins bleus », un centre pour mineurs délinquants. Et plus particulièrement de Jennifer, une adolescente en mal d'amour qu'elle tente de sauver malgré elle...
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Fils de Fellagha ; guerre d'Algérie de 1954-1962
Si Hadj Mohand Abden
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- 20 Septembre 2007
- 9782748338041
1959. Depuis quelques années déjà, l'Algérie s'est soulevée contre la France coloniale, réclamant son indépendance. Le pays est en proie à un conflit qui l'oppose à l'armée française. Les Algériens sont eux-mêmes divisés, les harkis affrontant les fellaghas. Si Hadj Mohand Abdenour, alors âgé de neuf ans, vit en Kabylie, dans le village d'Iferhounène. Il est le fils d'un résistant exécuté la même année par des soldats français. A son tour, l'enfant entre en résistance et se voit confier des missions qui, pour être courtes, n'en sont pas moins dangereuses. Avec « Fils de Fellagha », l'auteur fait retour vers cette époque déterminante de son histoire et décrit son parcours de jeune fellagha, inspiré par un père que l'on peut qualifier d'héroïque. Il nous confie ainsi son quotidien de résistant, la peur, mais aussi son indéfectible volonté de lutter contre un système inique, violent et meurtrier.
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Janvier 2011, dans une Tunisie en pleine révolution. Embauchée par une grande école internationale pour créer un service dédié aux élèves en difficulté, une psychopédagogue canadienne arrive dans la capitale. Dix jours plus tard, l'établissement sera fermé jusqu'à nouvel ordre, pour raisons de sécurité. Lorsque se rouvriront ses portes, ce sera pour accueillir le plus grand débat autour de la jeunesse et de l'avenir du pays. Témoin direct de la révolution du Jasmin, Geneviève Manceaux revient sur une quarantaine de jours décisifs, véritable concentré d'expériences vécues avant son départ forcé. Chaos, paranoïa : immersion réussie au coeur d'un pays en crise, que l'auteur double d'une tribune aux acteurs de ce bouleversement sociopolitique.
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C'était dans l’est ; grand-père, racontez-nous la guerre
Claude Quil
- Publibook
- 5 Juillet 2007
- 9782748337013
Autour de la Seconde Guerre Mondiale, une page d'Histoire, celle d'une région, la Lorraine. Nous montrant comment, entre la guerre et la sidérurgie, son visage s'est façonné à travers les ans. Un retour sur les milieux rural et industriel, à une étape marquante du XXème siècle.
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L'histoire des forces-armées dans l'espace culturel koongo
Etienne Mayoulou
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- 18 Octobre 2006
- 9782748333091
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Moi, louis mandrin, capitaine des contrebandiers de france
David Richalet
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- 14 Mars 2007
- 9782748334982
L'incroyable destin de Louis Mandrin, homme ordinaire obligé de sombrer dans l'illégalité, de s'enrôler dans un groupe de contrebandiers. Un personnage sympathique, un justicier populaire. Mais aussi un homme vengeur, vouant une haine farouche à ceux qui l'ont dépouillé, les fermiers généraux de Louis XV. Un homme aux méthodes sanguinaires qui commence à effrayer les paysans et terroriser le Roi. Entre deux feux, la trahison semble inévitable, des alliances impossibles devront être faites. Mais à quel prix ? Une réalité historique pour un scénario prenant où les alliances sont ténues, les allégeances brisées, et la mort, forcément omniprésente...
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De la Sardaigne à l'Est de la France, en passant par le Midi, Pierre l'émigré italien et Jeanne l'Alsacienne, traversent la première moitié du XXe siècle au gré des aléas de l'Histoire, de l'exil en quête d'une vie meilleure à l'expulsion par les Allemands. Daniel Francis, à l'instar de ses parents, sera appelé à vivre un voyage décisif : à vingt ans, il rejoint les troupes françaises en Algérie, au sommet de la côte 441. Pendant plus de deux ans , il découvrira la camaraderie, mais aussi la peur, celle de mourir, celle de tuer...
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Journal d'un dernier voyage ; une mort programmée
Josiane Ory
- Publibook
- 15 Février 2009
- 9782748351651
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"Incrédules, les mentors de l'OMLT K4 réalisent rapidement ce qui leur arrive: "On se fait allumer!", crie l'un d'eux. Les binômes se désolidarisent. Plus de cent cinquante cartouches de 5,56 mm sont tirées en quelques secondes, avec un fusil-mitrailleur M249. Des corps tombent sur le sol gelé tandis que le tireur poursuit calmement son sinistre attentat. Les rafales se succèdent et soulèvent de la terre entre les jambes des soldats pris à partie. Tant bien que mal, les blessés essaient de se protéger, immobilisés au sol, loin de tout couvert et... si près de l'assassin. Pour d'autres, il est déjà trop tard".
Le 20 janvier 2012, un déséquilibré enrôlé au sein de l'armée nationale afghane ouvrait le feu sur des soldats français en plein entraînement sur la base opérationnelle de Gwan. Cinq d'entre eux y laisseront la vie... Si ce massacre incompréhensible a marqué les esprits à l'époque, il n'était pas question de laisser la loi de l'actualité le laisser sombrer dans l'oubli. Mêlant reconstitution et témoignages, l'ouvrage d'Audrey Ferraro est avant tout un hommage aux victimes et aux équipes d'encadrement médical et psychologique. Richement documentée, cette chronique bouleversante s'impose comme un indispensable devoir de mémoire.
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"La Petite Ouvrière de Varsovie", traduit du Yiddish, récit des souvenirs d'enfance de Chaja Zilbertin, constitue un authentique témoignage sur la misère et les conditions de vie des enfants au travail au début du XXe siècle en Pologne. Il nous renseigne sur quantité d'aspects d'une telle existence, avec l'acuité d'un regard enfantin - à la fois conformiste et étonné - sur l'injustice de la vie. Ainsi de cette « leçon » de vie, pour cette enfant de cinq ans accusée d'avoir « volé » l'orange de son père malade : « ... La couleur de cette ''chose'', dont je ne connaissais même pas le nom, me plaisait beaucoup. Aussi je m'empressai de l'attraper, ce qui me valut aussitôt une volée de coups de plusieurs bonnes femmes qui se trouvaient là et qui se mirent à me battre toutes ensemble... Je crois que c'est de ce jour-là que datent mon premier souvenir et la prise de conscience de moi-même... Aujourd'hui encore je me rappelle avoir plus souffert des injures (voleuse, gourmande) que des coups reçus... Comment pouvais-je avoir l'intention de manger l'orange puisque j'ignorais jusqu'à l'existence même d'un tel fruit. Je voulais seulement la prendre dans ma main pour mieux l'admirer... Toujours est-il que je reçus ainsi ma première leçon sur l'injustice de la vie. »
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Saint-Florent-le-Vieil, un havre de bonheur pour les vacances. Mais la famille Martin y restera une année: l'Allemagne a attaqué la France. Bientôt l'armistice, Pétain, les déportations des Juifs: Paris ville lumière devient Paris en deuil, où le noir et blanc sont à tous les carrefours, où la croix gammée a remplacé le bleu blanc rouge. Vie difficile, compromission, marché noir, bombardements, armée de l'ombre parfois trop exposée. Enfin, le débarquement allié réussit, mais Paris brûlera-t-il? La liberté fera revivre et grandir, l'enfance ouvre les portes à une adolescence pleine d'espoir.
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Paroles d'émigrés ; des émigrés toscans evoquent leur venue à Marseille au début du XX siècle.
Marcel Dottori
- Publibook
- 7 Juin 2012
- 9782748386097
On échappe difficilement à l'émergence d'instants qui ne sont pas définitivement effacés de la mémoire et la réapparition brutale de souvenirs partiellement édulcorés libère beaucoup d'émotion et pas mal d'amertume. Un grand pas serait franchi si on connaissait les causes exactes de la migration toscane dans la cité phocéenne. Cet acte a été un moment douloureux dans la vie de ces émigrés et il est temps de réveiller leur mémoire. Peut-on vraiment se soustraire à la parole de ces gens qui expriment sans ambages les moments heureux ou malheureux de leur existence ? Loin d'être exceptionnelles, leurs allégations sont indispensables pour connaître les circonstances de leur venue. Sans vouloir amplifier leur importance, ces témoignages ont la capacité de ressusciter des circonstances anciennes qui authentifient leur implantation dans cette ville. Les confronter à cet épisode de leur vie est inéluctable pour rétablir la vérité sur l'épineuse question de leur exil pour écouter à l'écart des schémas répandus les révélations de ces « propriétaires exclusifs de souvenirs ». Loin d'être irréfutables, leurs aveux chargés d'amertume sont le socle indispensable qui réhabilite sans fausse pudeur une histoire qui leur appartient. En racontant leurs souvenirs, ces acteurs anonymes n'ont rien fait d'autre que d'exhumer des circonstances anciennes qu'ils croyaient définitivement oubliées.
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Mémoires d'un combattant de la guerre de 1914-18, Roger Cadot, mobilisé comme sergent, sillonnant le front avec une responsabilité écrasante, et l'angoisse omniprésente de la mort. Ce témoignage unique d'un homme pris dans les tourments de la guerre, rend palpable la réalité historique d'un conflit qui a profondément marqué l'imaginaire collectif. Pendant ses années de guerre, Roger Cadot noircit ses carnets de notes et de croquis dont il commence la retranscription entre 1920 et son retour de captivité en 1941. Michel, le dernier fils de Roger Cadot, se propose de nous faire découvrir ce chef-d'oeuvre qui décrit, avec justesse et sensibilité, le quotidien de cette guerre qu'on appelait.. la der des der...