Notre société, en panne d'idéal ? Alors que se bousculent sur les écrans, sur les ondes et les pages des magazines, des gens gais, jeunes, beaux, éclairés et pleinement généreux... Bref plus heureux, habités par des émotions et des sensations fortes, entourés d'objets merveilleux.
Il ne tient qu'à nous de partager leurs émotions et leur altruisme. Sans oublier de transposer et de renouveler ces objets dans notre quotidien.
Censé ne satisfaire que nos désirs et nos besoins, le consumérisme se présente chaque jour davantage comme un système des plus sophistiqué. Une idéologie selon Pierre Gégauff inavouée mais omniprésente et omnisciente, volontiers moralisatrice s'ajoutant aux hiérarchies sociales et politiques traditionnelles qui pèsent déjà de tout leur poids. S'en défaire, bonne idée ! Mais commençons par en saisir l'ampleur et les mécanismes.
Pierre Gégauff est historien. Son ouvrage renouvelle la pensée structuraliste.
Quand on évoque la locution « permis à points » il vient tout de suite à l'esprit la notion d'une de sanction de notre conduite.
La sanction est connue, mal vécue, car elle remet en cause son bénéficiaire.
J'ai donc choisi :
- De repréciser le pourquoi de l'existence d'un permis à points en rappelant les règles de pertes de points et celles pour les retrouver.
- De décortiquer le rôle du groupe sur l'individu et les imperfections de notre cerveau de conducteur.
- D'aborder les conséquences en rappelant les normes et valeurs sociétales qui sont le propre de toute vie en société.
- De démontrer que nous ne sommes pas tous égaux avec un même permis devant la compréhension du code et l'appréhension du risque et que la formation au bon vocabulaire doit être prioritaire.
- D'expliquer le rôle capital et essentiel des parents dans la formation quotidienne à la mobilité Citoyenne de leurs jeunes et de leurs adolescents.
- D'inciter chacun à une auto-évaluation objective de ses comportements autant que faire se peut, et à un ajustement plus judicieux.
« L'humanité est épuisée, davantage fragile et vulnérable. Elle est marquée de mémoire par les épreuves et les traumatismes. Les luttes incessantes ne cessent de la briser et de la fragmenter. L'humanité manque de ressources énergétiques pour affronter la multitude de nombreux faits de circonstances et de violences dans les rues, certains foyers, terrorisme, racisme... etc. Ils ne font que se répéter et portent atteinte à son intégrité. »La nature humaine s'est toujours révélée complexe. Dans cet essai, Salima Ait Yala nous aide à nous connaître davantage, dans l'espoir de comprendre les enjeux qui se cachent derrière les crises que nous traversons.Salima Ait Yala est née en Algérie, en 1965. Après son baccalauréat, elle s'oriente vers des études de médecine, se spécialise en sexologie clinique, en sciences humaines et en médecines parallèles. Elle est désormais chercheuse scientifique indépendante dans le domaine de la matière et de l'abstrait. Depuis deux ans, elle se consacre à l'écriture après avoir développé un esprit méditatif au contact de la nature qui lui est très proche.Elle signe avec Un virus, une épreuve de plus son premier ouvrage aux Éditions Vérone.
Pourrait-on imaginer un jour un monde sans chants d'oiseaux, sans éléphants dans la savane, sans grenouilles coassant dans les allées de nos jardins, ou encore sans avions dans les airs?? Non, cela serait infiniment triste et affligeant. Si l'avion vole si haut, c'est grâce à l'étude menée par des savants sur le vol des vautours et des cigognes. Si les médicaments sont adaptés aux douleurs des patients, c'est grâce à la grenouille qui coasse si bien dans son fossé. Si le fibroscope et l'IRM sont si performants, c'est grâce aux expériences faites sur l'oeil de la mouche.L'Homme observe le comportement animal afin de mettre en évidence la capacité de ce dernier à survivre dans la nature, en groupe ou en solitaire. Ces manières de vivre peuvent-elles être apprises et adoptées par et pour les êtres humains?? Si les termitières sont si bien climatisées et les huttes des castors si bien sécurisées, si les fourmis sont autant coordonnées dans leur cité et si les ruches des abeilles sont aussi fonctionnelles, c'est avant tout grâce à une organisation sans failles. Nous, êtres humains, avons tout à apprendre de la nature, un monde à partager.Jean Marc BONMATI est titulaire de deux masters, l'un en gestion des Institutions de Santé, l'autre en Ingénierie de la Formation, ainsi que d'une thèse de Droit. Il est issu de l'EHESP de Rennes. Il a exercé les fonctions de Directeur des Ressources Humaines pendant plus de trente-cinq ans dans le milieu de la Santé. Directeur d'Hôpital en retraite, il est l'initiateur de nombreux échanges inter hospitaliers européens.
Cet ouvrage est une réflexion sur la femme, l'homme, l'amour, le sexe, la reproduction, la grossesse, la naissance, la filiation et la vie.Raymond Belaiche a voulu situer nos origines dans l'univers, le début de la vie depuis la première cellule, l'influence sur notre filiation, les mythes fondateurs, l'éthique garante de nos valeurs morales et enfin l'influence de la femme dans cette aventure.L'origine de l'Humanité appartient à la femme, et la reproduction humaine, quelle qu'elle soit, dépendra toujours d'elle.Il y a hélas un long chemin à parcourir pour obtenir, au-delà de l'égalité des sexes, la sérénité d'être une femme à part entière et la fin de la barbarie exercée à leur encontre.Raymond Belaiche est né en 1943. Gynécologue et obstétricien, il voue sa vie professionnelle aux femmes, avec un amour et un respect profond pour leur rôle irremplaçable et si peu reconnu. C'est de ce rôle dont il est question dans cet essai, La Femme... et l'homme.
Pour bien comprendre les contenus associés au duo marginalité et société, il faut tenir compte du temps, c'est-à-dire de l'époque au cours de laquelle de nouveaux langages voient le jour : dès la fin du XIXe siècle et au XXe siècle, on découvre l'émergence d'une nouvelle floraison langagière.Un relevé de quelques termes de presse de 1968 a 1972 semble témoigner d'une sorte d'hébétude sociale de commentateurs un peu « dépassés » par les événements : pègre, chômeurs, clochards, Katangais, irréductibles, voyous, éléments incontrôlés, enragés, déclassés, irréguliers, jeunes gens d'allure un peu bohème, hippies, etc. Nombre de ces appellations sont d'ailleurs créées par les « marginaux » eux-mêmes, ou reprises par eux : Hells Angels, blousons noirs, Halbstarken, Teddy Boys, hooligans, Provos, Beats, Hippies, Yippies, Punks.La marginalisation sociale ne peut se concevoir comme dévalorisante que si elle est subie ; or, dans certains cas, elle est aussi choisie. La marginalisation spatiale a évolué de la même manière et se lit à différentes échelles ; au-delà des ghettos traditionnels, se multiplient les « ghettos dorés », ou plus exactement des espaces d'entre-soi ou l'on s'isole dans une démarche volontaire de libre récréation, mais sous bonne protection.Michel Vuille est né en 1939. Docteur en sociologie à Genève, il a été chargé de cours à la faculté de psychologie et des sciences de l'éducation, directeur du Programme national de recherche (PNR), 51 Intégration et exclusions, et de la Commission externe d'évaluation des politiques publiques (CEPP). En retraite active depuis 2004, il se consacre à l'écriture afin de partager ses idées. Il signe avec Marges, marginalités, marginalisés son premier ouvrage aux Éditons Vérone.
Et si pour une fois, nous prenions le temps de discuter sans utiliser de mots beaucoup trop compliqués, de « blablas » un peu trop savants ? Une discussion entre vous et moi, à travers mon ouvrage...Nous pourrions débattre, avoir un échange constructif sur l'actualité. Sans trop de manières, par le biais de la spontanéité, de la liberté d'expression et de la philosophie moderne.Prenez votre temps, ça ne dure qu'un court instant.Vanessa CH. Magdaliena est née en 1991 en Alsace. D'aussi loin qu'elle se souvienne, elle a toujours été passionnée par le monde artistique. Pour elle, l'écriture est synonyme d'échange et de partage. Aujourd'hui, elle publie son premier ouvrage aux Éditions Vérone.
Combien de fois avons-nous entendu « le monde change », afin de nous pousser à accepter les évolutions technologiques et les changements de comportements des hommes lors de ce XXIe siècle plein de promesses ? Le virus Covid-19 est-il le point de départ d'un changement imposé à l'humanité tout entière ?Cette grande question reste, encore aujourd'hui, sans réponse. L'année 2020 a mis en évidence les travers de notre société de consommation, que nous pensions à l'abri de devenir une société aseptisée de tous maux.Le confinement et les décisions des dirigeants de la planète favorisent une remise en question et permettent de réfléchir aux erreurs de l'humanité et à notre avenir.Dans 2020 Année zéro - Réflexions sur une crise sanitaire, Jean-Claude Nevers propose une réflexion profonde sur cette année particulière.Jean-Claude Nevers est diplômé en télécommunications et en logistique. Après un début de carrière militaire, il devient consultant en ingénierie pendant trente ans avant de se lancer dans l'écriture de réflexions sur notre société. Il est également le maire de Montfleur, un village dans le Jura.Il signe avec 2020 Année zéro - Réflexions sur une crise sanitaire son premier ouvrage aux Éditions Vérone.
Décembre 2019. Rien dans l'atmosphère ne présageait ce phénomène d'une telle ampleur, une épidémie de coronavirus sans pareille, bousculant la vie sociale et économique de la majeure partie des pays du monde. Ce soir-là, j'entends à la radio parler du premier cas chinois, j'ai tous mes sens en alerte, et le sixième encore plus que tous les autres.Au fil des mois, des gestes barrière au test PCR, du confinement au couvre-feu, en passant par une vaccination « obligatoire » dissimulée sous un pass sanitaire, et après un an et demi d'épidémie et plus de 110 000 décès, la France se fracture entre vaccinés et non vaccinés.Et la même question du tout début revient en boucle : Quand est-ce que tout cela s'arrêtera pour pouvoir revenir à la vie d'avant ?Cependant, après cette leçon d'humilité douloureuse, aspirons-nous encore à vivre comme avant, dans l'injustice et le désordre ? Et si l'épreuve de la Covid pouvait nous donner l'occasion de remodeler nos coeurs (nos temples), et par là même, nos sociétés, dans l'attente du grand changement à venir ?Pascale R. est née en 1964. C'est par l'écriture et munie de son expérience extrasensorielle qu'elle oeuvre à l'ouverture de l'esprit de chacun sur ce que nous sommes présentement et pourrions devenir à terme, en délaissant les chemins ténébreux pour la voie lumineuse.
Entre essai et manifeste un brin provocateur, ce court ouvrage met en lumière le grand dilemme du XXIe siècle : celui d'une croissance infinie sur une planète finie.Prise au piège entre les impératifs systémiques d'une mondialisation capitaliste et les limites de la biosphère terrestre, l'espèce humaine fait face à un choix impossible. Développant dix limites du monde humain, desquelles ce dilemme cornélien tire sa grave complexité, Une démondialisation pacifique impossible explicite la nécessité d'une pensée universaliste afin d'affronter pacifiquement les ruptures bioclimatiques et capitalistiques en cours.Plus encore que d'éviter les chaos et les guerres, plus encore que d'élaborer les conditions d'une paix perpétuelle, il s'agit d'oeuvrer au souverain bien, à l'avenir supérieur de l'humanité sur Terre.Benoit Chaussade est né en 1986 à Toulouse. Citoyen engagé, libre penseur, philosophe autodidacte, passionné d'économie et de politique et lecteur infatigable de revues scientifiques, il participe aux réflexions étoffant les théories effondristes, en rapport avec le travail de Vincent Mignerot, d'Arthur Keller, d'Alexandre Boisson, de Jean-Marc Jancovici et de Pablo Servigne.
À travers ce témoignage, Malika Fautra-Onesta partage ses sentiments et ses émotions face à la pandémie de Covid-19. Elle fait part de ses doutes, ses peurs, ses réflexions et les leçons positives et négatives qu'elle a apprises. Cette pandémie, nous l'avons vécue ensemble, quels que soient notre statut social, nos origines, nos valeurs, ou nos croyances. Nous pouvons donc tous nous identifier aux ressentis de l'auteure.
Nous avons formé un seul peuple, une seule nation, un seul monde, afin de faire face à ce virus qui a fait des ravages, mais devions-nous attendre le pire pour pouvoir prendre conscience de l'importance de notre vie ? N'aurions-nous pas dû nous remettre en question plus tôt ?
Comment, en étant bien né dans une France gardienne des libertés et de la fraternité, peut-on perdre son allégeance envers un pays que le monde entier envie pour sa douceur de vivre ?C'est qu'il ne fait plus bon de vivre en France, devant l'injustice et les « deux poids, deux mesures » de la justice française. Alors que certains voient l'État comme une « pompe à fric », les citoyens bien imposés, eux, en sont réduits à mendier des aides sociales pour survivre. Il est grand temps de reprendre en main notre destinée et de retailler la Pierre du socle de notre république. C'est aussi une occasion inespérée pour redonner un second souffle à notre culture et à notre patriotisme, laissés pour morts depuis Maastricht et le non-respect de la voix du peuple par un petit malhomme.Car la France est en train de perdre sa lueur pour devenir un État totalitaire, c'est à se demander si les Français ont oublié leurs leçons d'Histoire et s'ils se rappellent leur héritage.Pourtant, la France est le pays des révolutionnaires, des insoumis, des résistants et des patriotes.Il est grand temps de retrouver notre civisme et de nous rappeler des philosophes, écrivains et grands Hommes qui ont fait vibrer le coeur de la France...Français et Costaricien, Sebastian Guy Turco Barboza est ingénieur et chef de projet. Bien né au sein d'une famille aisée, il obtient quatre diplômes et parle couramment trois langues. Passionné par l'Histoire de France, il choisit, pourtant, d'abandonner son pays, mais pas sans lui avoir rendu le savoir qui l'a vu naître.C'est dans un dernier élan patriotique qu'il se met à écrire la série Critique des civilisations, pour tenter de faire renaître l'esprit révolutionnaire des résistants et insoumis qui ont fait la grandeur de la France.
Tous les êtres ont appris à survivre et se sont perfectionnés à travers les âges. Où sont apparus les premiers humains et quel chemin ont-ils parcouru ? Nos ancêtres ont-ils vraiment toujours pris le bon chemin, évolué dans la bonne direction ? Que nous réserve l'avenir ?L'épopée humaine offre un tour d'horizon sur l'évolution des sociétés, des mythes et des croyances, depuis leur création.Née en Suisse allemande, Ruth Morf Steudler vit à Lausanne depuis les années soixante. Elle a suivi diverses formations en astrologie occidentale et chinoise, a été présidente de l'association suisse romande de parapsychologie (ASRP) et a fondé l'École de développement des facultés psychiques et relationnelles (ECOPSY). Elle travaille actuellement comme fiduciaire indépendante, masseuse/rebouteuse et écrivaine amateure. Elle aime la nature, les animaux et, bien entendu, les mystères.L'épopée humaine est son troisième ouvrage aux Éditions Vérone.
Pourquoi ce livre, parce qu'actuellement un fossé se creuse entre les riches et les pauvres. Il ne s'agit pas de faire la guerre à l'argent nécessaire au fonctionnement de l'économie mais de trouver de nouveaux systèmes de circulation de la monnaie. Tout le monde s'accorde à dire que le "marché" est en panne et la crise de 1929 revient régulièrement sur le "tapis". Je n'invente rien, il suffit de faire un sondage dans les quartiers paupérisés, le résultat sera probant et sans appel. Comme d'habitude ce déchirement économique entraîne la stigmatisation de populations. Chacun rejetant sur son voisin l'échec, oubliant qu'il serait mieux de réfléchir à des changements plutôt qu'à des guerres. J'entends souvent dire : "Une bonne guerre réglerait tout", comme s'il pouvait y avoir quelque chose de bon dans une guerre. J'invite les faiseurs de guerre à se rendre à Verdun, on y a construit d'immenses cimetières pour le grand bien de l'humanité ! Je ne vis pas trop loin de cette terre gorgée de sang. Voilà 100 ans que le carnage a commencé, n'avons-nous rien appris ? La crise économique efface une moralité qui ne peut être totale, l'Homme étant imparfait... Mais un juste milieu doit s'imposer où nous finirons comme le Titanic, au fond de l'eau.