Ce rapport présente les tendances et les progrès réalisés en matière de politiques d'atténuation du changement climatique dans les 34 pays membres de l'OCDE et 10 économies partenaires (Afrique du Sud, Brésil, Chine, Colombie, Costa Rica, Fédération de Russie, Indonésie, Inde, Lettonie, Lituanie), ainsiqu'au sein de l'Union européenne. Pris dans leur ensemble, ces pays représentent plus de 80 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre. Ce rapport couvre trois domaines : 1) les objectifs et cibles d'atténuation du changement climatique, 2) les instruments de tarification du carbone, comme les taxes sul'énergie, les taxes carbone et les systèmes d'échange de quotas d'émission, ainsi que les réformes du soutien aux énergies fossiles, 3) les principaux dispositifs politiques nationaux dans les secteurs énergétiques et non-énergétiques (l'agriculture, la foresterie, l'industrie et les déchets).
This report identifies potential improvements in terms of more effective safety and environmental regulation for trucks, backed by better systems of enforcement, and identifies opportunities for greater efficiency and higher productivity.
The report is based on a review of literature, consultation among stakeholders, and research and analysis from working group members. It also presents the results of a comprehensive benchmarking study of 39 truck configurations in operation around the world - from typical workhorse vehicles to very high capacity vehicles - and assesses their performance in terms of dynamic stability, productivity and impact on the infrastructure.
La croissance économique, les échanges et la concentration des populations dans de grandes cités vont intensifier la demande pour des services de transports interurbains. La nécessité de contenir effectivement les impacts environnementaux des transports s'en trouvera renforcée. Notre capacité à répondre à la demande de transports dépendra de l'habileté avec laquelle nous innoverons, nous relèverons le défi de la congestion et nous améliorerons la qualité des services de transports. Les innovations technologiques et réglementaires dessineront le futur des transports.
Le Symposium a rassemblé des experts éminents de la recherche en transports du monde entier pour se pencher sur l'avenir des transports interurbains de personnes. Un premier ensemble de rapports analyse les déterminants de la demande pour de tels transports et en tire des conclusions sur le futur devenir de cette demande. Les autres rapports abordent les questions de politique des transports qui sont déterminantes à cet égard : où investir dans les lignes ferroviaires à grande vitesse, comment réglementer pour s'assurer de l'efficacité des services de transports, comment assigner les infrastructures de transport à différents types d'usagers et comment contenir l'empreinte environnementale des transports en agissant sur la répartition modale et l'amélioration de ces mêmes performances modales.
Les gouvernements de nombreux pays de l'OCDE, mais aussi de plusieurs pays non membres, s'emploient activement à promouvoir la production et la consommation de nouveaux carburants de transport issus de produits agricoles. Le rapport conclut qu'il existe d'autres solutions que les politiques actuelles de soutien des biocarburants qui permettraient aux gouvernements de réaliser plus efficacement leurs objectifs.
Les dernières avancées en matière de compréhension scientifique de la congestion routière urbaine ne font que renforcer la validité, d'ores et déjà avérée, de la tarification de la congestion en tant qu'élément d'une politique de transports urbains qui soit une réussite. Les exemples concrets de systèmes de tarification de la congestion demeurent néanmoins peu nombreux. Qu'est-ce qui peut être fait pour renforcer les chances de leur adoption en pratique ? Ce rapport tire les enseignements de tentatives d'introduction d'une tarification de la congestion couronnées de succès et d'autres qui le sont moins.
La technologie n'est pas un obstacle et, de fait, elle devrait servir les objectifs des politiques plutôt que de les définir. Les systèmes de tarification sont coûteux et ne devraient donc être appliqués que là où la congestion est sévère. L'acceptation du public est perçue comme un élément clef d'une mise en oeuvre réussie. Même si cette acceptation du public peut être renforcée par des bénéfices environnementaux et une affectation bien pensée des revenus issus de la tarification, un système de tarification ne devrait jamais perdre de vue son principal objectif qui est de réduire la congestion.
Quelle a été l'évolution du secteur des transports de voyageurs et de marchandises au cours des années les plus récentes ? Qu'en a-t-il été de la sécurité routière ? Cette publication retrace à partir de statistiques couvrant la période 1970-2006 l'activité du secteur des transports au sein des pays du Forum International des Transports et s'efforce, à l'aide de graphiques, de mettre en évidence les tendances majeures sue cette même période.
Cette brochure offre au lecteur la primeur des tendances d'évolution des transports dans la mesure où sa parution précède celle de tout autre ouvrage comparable en la matière. De plus, et pour la première fois, des informations statistiques sont données sur les modes de transports aérien et maritime ainsi que sur les dépenses d'investissement et de maintenance réalisés au sein du secteur des transports.
Tant les passagers que les chargeurs pour les transports de marchandises souhaitent disposer de services de transports fiables. Peu de recherches ont cependant été entreprises pour incorporer la fiabilité dans l´évaluation des projets de transports et ceci en dépit de l´importance croissante accordée à la synchronisation temporelle des activités économiques.
Ce rapport fournit aux décideurs politiques un cadre d´analyse pour appréhender la question de la fiabilité, pour l´incorporer dans l´évaluation des projets et pour élaborer des politiques à partir de cette notion. Il propose également tout un éventail d´indicateurs de performances en matière de fiabilité. Des études de cas au sein des pays de l´OCDE et du FIT fournissent des exemples de plusieurs instruments politiques fondamentaux qui peuvent être utilisés pour aboutir à des réseaux de transports plus fiables, et ce d´une manière économiquement efficiente.
Ce rapport accomplit des progrès significatifs pour identifier les méthodologies adéquates pour incorporer la fiabilité dans l´évaluation des politiques et projets et souligne les erreurs qui doivent être évitées dans ce domaine.
La consommation de pétrole se concentre de plus en plus dans le secteur des transports. Ainsi, des variations relativement limitées de la demande dans ce secteur peuvent avoir des effets de plus en plus sensibles sur les cours du pétrole, qui ont atteint un sommet historique début 2008, franchissant la barre des 100 dollars le baril pour la première fois depuis le choc pétrolier de 1979. Le facteur sous-jacent de cette flambée des prix a été la demande émanant des économies en développement rapide, au premier rang desquels la Chine, où le secteur des transports est le plus gros consommateur de pétrole.
La puissance de marché des pays de l'OPEP s'accroît à mesure que la production de pétrole conventionnel hors OPEP atteint un plateau. Les réserves de pétrole que recèlent les sables bitumineux du Canada ou d'ailleurs sont considérables et leur exploitation est concurrentielle tant que les prix du pétrole restent supérieurs à 40 dollars le baril. Mais l'exploitation de ces réserves (de leur extraction à leur utilisation dans le secteur des transports) engendre deux fois plus d'émissions de CO2 que l'utilisation du pétrole conventionnel.
Cette Table Ronde évalue les mesures dont disposent les pouvoirs publics pour sécuriser les approvisionnements pétroliers et freiner le changement climatique. Elle examine leur interaction avec les mesures destinées à gérer la congestion et réduire la pollution atmosphérique locale. Cet ouvrage identifie un certain nombre d'incompatibilités et de nécessaires arbitrages, soulignant ainsi l'importance d'une approche intégrée dans l'élaboration des politiques.
Ce rapport examine aussi les facteurs qui déterminent les prix du pétrole à court et long terme, ainsi que les perspectives concernant les approvisionnements pétroliers.
Cette publication retrace à partir de statistiques couvrant la période 1970-2007 l'activité du secteur des transports au sein des pays du Forum International des Transports et s'efforce, à l'aide de graphiques, de mettre en évidence les tendances majeures sur cette même période. Cette brochure offre au lecteur la primeur des tendances d'évolution des transports dans la mesure où sa parution précède celle de tout autre ouvrage comparable en la matière. De plus, des informations statistiques sont données sur les modes de transports aérien et maritime ainsi que sur les dépenses d'investissement et de maintenance réalisées au sein du secteur des transports.
Les transports sont au coeur de la mondialisation - car ce terme n'aurait aucun sens s'il n'était pas possible de transporter les produits et les personnes autour de la planète. Les entreprises et les personnes peuvent d'autant plus profiter de la mondialisation que les réseaux de transport sont efficaces et rentables. Un secteur des transports compétitif, réactif et bien organisé facilite les échanges. Mais pour créer les conditions qui rendent ceci possible, il faut relever un certain nombre de défis politiques. C'est ainsi que les transports pourront pleinement contribuer à la mondialisation.
Tel était précisément la thématique principale du 17ème Symposium FIT/OCDE. Les débats ont été organisés autour de cinq sous-thèmes, alimentés par 17 rapports introductifs couvrant des domaines allant des « données et tendances » aux questions liées à la politique des transports et à l'intégration régionale.
Plus de 300 experts ont participé au Symposium et ont contribué aux débats. Cette publication reprend l'ensemble des rapports introductifs ainsi qu'une synthèse de ces débats.
Le lecteur trouvera dans ce rapport l'aboutissement des réflexions les plus récentes sur le thème de la mondialisation et des transports. Sa lecture constitue un préalable à toute analyse des évolutions contemporaines du secteur des transports.
De très importantes entreprises multinationales du transport et de la logistique sont apparues avec pour objectif de fournir des services de transport intégrés à destination des chargeurs, le tout dans le contexte d'une économie mondialisée. Ces entreprises échappent-elles en raison de leur taille même au contrôle des autorités nationales de la concurrence ? Portent-elles atteinte à la concurrence lorsqu'elles fusionnent ou acquièrent d'autres entreprises au sein de la chaîne logistique ?
La Table Ronde a rassemblé des experts des questions de la concurrence avec des chercheurs des domaines du transport maritime, du fret ferroviaire et de la logistique pour cerner les questions saillantes qui relèvent de la concurrence et les réponses réglementaires appropriées. Un examen des stratégies des entreprises de transport et de logistique révèle qu'une intégration verticale peut certes engendrer des gains d'efficience, mais elle correspond le plus souvent au besoin d'intensifier l'usage des coûteux équipements fixes plus que d'un impératif de contrôler toutes les opérations de la chaîne logistique. Ceci explique que les firmes maritimes se portent acquéreurs d'opérateurs de terminaux. Les acquisitions horizontales, là où des entreprises similaires servant un même marché fusionnent, sont davantage susceptibles de poser des problèmes de concurrence. De tels problèmes peuvent particulièrement se poser au niveau d'équipements congestionnés.
Cette Table Ronde dresse un cadre pour l'examen des questions de concurrence au sein des activités de transport et de logistiques globales, elle discute de la pertinence des mesures à la portée des régulateurs, lorsque la concurrence est menacée et elle explore le rôle des autorités de concurrence et des Ministères des Transports dans la poursuite de l'organisation de marchés efficients.
Les politiques du secteur des transports contribuent déjà à modérer les émissions de gaz à effet de serre des véhicules routiers. Elles sont de plus en plus conçues pour participer aux objectifs sociétaux de lutte contre le changement climatique. Bien que le coût de réduction des émissions soit relativement élevé dans les transports, nombre d'arguments plausibles en faveur de tels abattements voient le jour au sein de ce secteur.
La taxation des carburants est un bon instrument. Des normes de consommation sont potentiellement justifiées dans la mesure où les performances des marchés en terme d'économies d'énergie sont limitées. Il n'y a toutefois pas d'éléments solides pour étayer le recours à une combinaison de normes de consommation et de taxation des carburants.
La Table Ronde s'est penchée sur l'efficacité et le coût de différentes options de réduction des émissions des transports routiers et a discuté de la répartition des efforts au travers des différents secteurs de l'économie.
Tables des matières:
- Synthèse de la discussion - Examen des normes de consommation de carburant et d'émission de carbone applicables aux véhicules légers - Réduction des émissions des transports - Potentialités des droits d'émission négociables - Efficience de la réglementation des transports - Calcul des coûts et avantages de la réduction des émissions de CO2 dans le secteur des transports
Car ownership is set to triple by 2050, trucking activity will double and air travel could increase fourfold. This book examines how to enable mobility without accelerating climate change. It finds that if we change the way we travel, adopt technologies to improve vehicle efficiency and shift to low-CO2 fuels, we can move onto a different pathway where transport CO2 emissions by 2050 are far below current levels, at costs that are lower than many assume.
The report discusses the prospects for shifting more travel to the most efficient modes and reducing travel growth rates, improving vehicle fuel efficiency by up to 50% using cost-effective, incremental technologies, and moving toward electricity, hydrogen, and advanced biofuels to achieve a more secure and sustainable transport future. If governments implement strong policies to achieve this scenario, transport can play its role and dramatically reduce CO2 emissions by 2050.
Le secteur des transports contribue de manière significative aux émissions de gaz à effet de serre dans la plupart des pays, et représente 23 % (au niveau mondial) et 30 % (au niveau de l'OCDE) des émissions de CO2 issues de la combustion des énergies fossiles en 2005. De ce fait, il est fort probable que la plupart des pays devront prendre en compte le secteur des transports dans leurs efforts pour diminuer les émissions de gaz à effet de serre. Le Forum International des Transports 2008, qui a rassemblé à Leipzig plus de 800 décideurs politiques, représentants de l'industrie et chercheurs, a constitué une étape clé de ce processus. De nombreuses tables rondes ont été organisées à cette occasion et ont notamment porté sur les technologies de transport efficaces, les instruments politiques nécessaires pour améliorer l'efficience énergétique et les moyens d'infléchir les émissions de gaz carbonique dans les différents modes de transport. Cette publication reprend de manière condensée les principaux apports des discussions et des travaux de recherche du Forum portant sur les biocarburants, l'éco-conduite, l'impact des prix élevés de l'énergie et l'efficacité des politiques d'économie de carburant.
Tables des matières:
- Introduction - Transport et changement climatique - Ateliers - Tables rondes - Autres faits marquants
Bénéfices économiques élargis du secteur des transports : Instruments de planification et d'évaluation macro-, méso- et micro-économiques. L'analyse coûts-avantages classique des projets d'investissement dans les infrastructures de transport consiste à mettre en balance les coûts des projets avec les avantages que l'on peut en escompter pour l'usager. À l'occasion de cette Table Ronde, d'éminents universitaires et professionnels ont échangé leurs vues sur la question et ont examiné diverses méthodes possibles pour évaluer les effets plus larges - négatifs comme positifs. Ils sont ainsi parvenus à la conclusion que pour les projets de petite envergure, il est préférable de privilégier l'obtention de résultats dans les délais voulus, même s'il faut pour cela renoncer à une analyse plus poussée des effets plus larges des projets. En revanche, s'agissant de projets ou de programmes d'investissement de plus grande ampleur, une analyse spécifique de leurs effets plus larges se justifie davantage. L'élaboration de procédures d'évaluation uniformes doit être un domaine de recherche prioritaire.
Cette publication de la série Tables Rondes examine les défis stratégiques et réglementaires que pose l'évolution rapide de l'environnement portuaire. L'innovation technologique et organisationnelle, ainsi qu'une très forte expansion des échanges, ont en effet radicalement transformé le secteur portuaire au cours des dernières décennies. Bien que les ports desservent aujourd'hui des arrière-pays qui s'étendent profondément à l'intérieur des continents, la concurrence interportuaire ne cesse de s'intensifier, affaiblissant le pouvoir de négociation des ports dans la chaîne logistique. L'accroissement du débit portuaire se heurte à une résistance de plus en plus forte des collectivités locales en raison de la pollution et de la congestion qu'il entraîne. La réglementation locale est justifiée, mais sa mise en oeuvre est compliquée par la répartition du pouvoir de négociation entre les parties prenantes. Des autorités d'un niveau plus élevé seraient en mesure de formuler des politiques plus efficaces.
Tables des matières:
- Synthèse de la discussion - Les ports maritimes et leur arrière-pays intermodal - Relations dans le cadre des chaînes d'approvisionnement internationales - les défis pour l'Europe - Réponse à l'augmentation du trafic portuaire - Enseignements à tirer du vécu des ports de Los Angeles/Long Beach et d'autres ports américains et de leur hinterland - Assurer l'accès à l'arrière-pays portuaire - Le rôle des autorités portuaires
Pour la partie de plus en plus nombreuse de la population qui est atteinte de déficiences cognitives ou d'un problème de santé mentale, l'utilisation des transports publics peut être vécue comme une expérience difficile et traumatisante, voire impossible. Malgré l'amélioration actuelle des véhicules et des infrastructures destinée à répondre aux besoins des personnes atteintes de déficiences physiques ou sensorielles, ces problèmes sont largement négligés.
Les solutions possibles, notamment la formation des personnels des services de transport sont souvent simples et peu coûteuses. Appliquées de manière universelle, elles pourraient être d'un grand secours aux voyageurs à l'échelle internationale. D'autres démarches sont nécessaires au niveau de l'accessibilité de l'information liée aux transports, telles que des changements dans la présentation des horaires, l'utilisation d'une signalétique sonore et visuelle ainsi que la présence de personnel. Toutes ces mesures peuvent aider les voyageurs à prendre confiance.
Cette publication est l'une des premières à traiter des questions de politique des transports en rapport avec la déficience cognitive et la santé mentale. Elle a pour but d'aider ceux qui planifient, conçoivent et exploitent les systèmes et infrastructures de transport à trouver des solutions pratiques afin d'améliorer les services et installations pour l'ensemble des voyageurs.